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HANS SILVESTER

  

La vocation a saisie Hans Silvester dès l’enfance. Né en 1938 en Allemagne, il fait ses gammes à quatorze ans dans l’atelier d’un photographe et obtient son diplôme trois ans plus tard. Il prend la route à travers l’Europe.

En 1960, Camargue est publié avec un texte de Jean Giono. La Provence devient son port d’attache, il s’y installe en 1960.

Les voyages se succèdent, reportages au long cour, patience et passion : à travers ses publications dans la presse, ses dizaines d’expositions et une cinquantaine de livres.

Hans Silvester, s’affirme comme un ardent défenseur de l’écologie, Calavon « La rivière assassinée », un photographe animalier hors pair « Les Chats su soleil » « Les Chevaux de Camargue »

La nature est sa seconde nature. 

On peut voir en lui le premier militant écologiste à s’être 

emparé de l’outil photographique comme d’une arme de persuasion. L’évolution des habitants d’un village basque ou saisisse les derniers rites des peuples primitifs en Ethiopie.

Amoureux de la Terre, il est aussi des êtres qui la peuplent, y compris des animaux. Ses photos de chevaux ou de chats (un immense succès en librairie en témoignent.

Son œuvre est un tout qui nous dit la beauté du monde et témoigne d’une grande indépendance. 

Hans Silvester ne cherche jamais l’effet, il choisit ses sujets et se laisse porter par la chance,

Bonne fée dévouée à ceux qui, persévérants, la sollicitent. Ses images, choisies parmi des milliers, dessinent l’aventure d’un homme et dela création photographique.

Texte par Jöelle Ody

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